Des armes volées à la base d' Istres et 3 gardes à vue.........................(ba125)
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Des armes volées à la base d' Istres et 3 gardes à vue.........................(ba125)
Des armes, "essentiellement des armes de poing", ont été "soustraites de la base d'Istres" (Bouches-du-Rhône), et trois personnes, dont un militaire, sont en garde à vue, a indiqué vendredi le procureur de la République de Marseille Xavier Tarabeux.
Le "décompte précis" du nombre d'armes dérobées est en cours, a-t-il indiqué.
Les gendarmes de la section de recherche (SR) de Marseille et ceux de la SR de Villacoublay (Yvelines) ont été saisis. Ils entendent actuellement les trois gardés-à-vue sur la disparition de ces armes à la base aérienne d'Istres.
La justice a été "saisie sur la disparition de matériel sensible et d'équipements militaires", a indiqué une source militaire à l'AFP.
L'évènement a été "immédiatement déclaré à la justice" et "concomitamment, une enquête de commandement est diligentée par l'armée de l'air pour déterminer les causes et responsabilités", a précisé cette source.
En juillet 2015, des explosifs avaient été dérobés sur le site militaire de Miramas, également dans les Bouches-du-Rhône.
Au moins 150 détonateurs et des pains de plastic avaient été volés, ce qui avait conduit l'armée française à prendre des mesures d'urgence pour mieux sécuriser ses sites de munitions.
Les malfaiteurs avaient pénétré dans l'enceinte du vaste site militaire après avoir découpé les grillages qui l'entourent.
AFP
LA SUITE :
Le parquet de Marseille a requis lundi le placement en détention provisoire de quatre suspects, dont un caporal-chef, soupçonnés d'avoir participé à un vol d'armes "en bande organisée", constaté sur la base de l'armée de l'air à Istres (Bouches-du-Rhône).
Une information judiciaire a été ouverte lundi notamment pour "association de malfaiteurs en vue de commettre un vol en bande organisée" et "violation de consignes en état d'urgence par militaire", a annoncé le procureur de Marseille, Xavier Tarabeux, dans un communiqué.
Un juge d'instruction doit se prononcer sur la mise en examen éventuelle des quatre suspects, et un juge des libertés et de la détention décider s'ils seront placés derrière les barreaux.
Le vol avait été constaté mercredi 21 septembre, par un militaire "affecté au fret" sur la base aérienne d'Istres, dans les Bouches-du-Rhône: quatre caisses militaires "contenant des carcasses d'armes de poing et d'épaule, des pièces de sécurité ainsi que divers matériels techniques" avaient disparu.
Selon les premiers éléments de l'enquête, les armes ont été volées dans les quatre jours qui précédaient.
"Les recherches se sont rapidement orientées en direction d'un caporal-chef en charge du fret et ayant à ce titre accès au lieu sécurisé de stockage des armes", a précisé le chef du parquet marseillais. Les trois autres personnes placées en garde à vue dans cette affaire sont des proches de ce militaire, "dont une femme".
"Au cours de leurs auditions, trois des quatre gardés à vue ont reconnu leur participation aux faits", poursuit le procureur. "Certains armes volées" ont d'ores et déjà été rendues "inutilisables" grâce aux pièces de sécurité retrouvées en perquisition par les enquêteurs spécialisés de la gendarmerie, souligne le magistrat.
AFP
Le "décompte précis" du nombre d'armes dérobées est en cours, a-t-il indiqué.
Les gendarmes de la section de recherche (SR) de Marseille et ceux de la SR de Villacoublay (Yvelines) ont été saisis. Ils entendent actuellement les trois gardés-à-vue sur la disparition de ces armes à la base aérienne d'Istres.
La justice a été "saisie sur la disparition de matériel sensible et d'équipements militaires", a indiqué une source militaire à l'AFP.
L'évènement a été "immédiatement déclaré à la justice" et "concomitamment, une enquête de commandement est diligentée par l'armée de l'air pour déterminer les causes et responsabilités", a précisé cette source.
En juillet 2015, des explosifs avaient été dérobés sur le site militaire de Miramas, également dans les Bouches-du-Rhône.
Au moins 150 détonateurs et des pains de plastic avaient été volés, ce qui avait conduit l'armée française à prendre des mesures d'urgence pour mieux sécuriser ses sites de munitions.
Les malfaiteurs avaient pénétré dans l'enceinte du vaste site militaire après avoir découpé les grillages qui l'entourent.
AFP
LA SUITE :
Le parquet de Marseille a requis lundi le placement en détention provisoire de quatre suspects, dont un caporal-chef, soupçonnés d'avoir participé à un vol d'armes "en bande organisée", constaté sur la base de l'armée de l'air à Istres (Bouches-du-Rhône).
Une information judiciaire a été ouverte lundi notamment pour "association de malfaiteurs en vue de commettre un vol en bande organisée" et "violation de consignes en état d'urgence par militaire", a annoncé le procureur de Marseille, Xavier Tarabeux, dans un communiqué.
Un juge d'instruction doit se prononcer sur la mise en examen éventuelle des quatre suspects, et un juge des libertés et de la détention décider s'ils seront placés derrière les barreaux.
Le vol avait été constaté mercredi 21 septembre, par un militaire "affecté au fret" sur la base aérienne d'Istres, dans les Bouches-du-Rhône: quatre caisses militaires "contenant des carcasses d'armes de poing et d'épaule, des pièces de sécurité ainsi que divers matériels techniques" avaient disparu.
Selon les premiers éléments de l'enquête, les armes ont été volées dans les quatre jours qui précédaient.
"Les recherches se sont rapidement orientées en direction d'un caporal-chef en charge du fret et ayant à ce titre accès au lieu sécurisé de stockage des armes", a précisé le chef du parquet marseillais. Les trois autres personnes placées en garde à vue dans cette affaire sont des proches de ce militaire, "dont une femme".
"Au cours de leurs auditions, trois des quatre gardés à vue ont reconnu leur participation aux faits", poursuit le procureur. "Certains armes volées" ont d'ores et déjà été rendues "inutilisables" grâce aux pièces de sécurité retrouvées en perquisition par les enquêteurs spécialisés de la gendarmerie, souligne le magistrat.
AFP
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