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La guerre des Malouines article +photos +vidéos

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Message  marcwolf Mer 6 Avr - 7:28

dans les années 81/82 au 21 rima nous avions en formation des soldats étrangers bizarres, c'était des troupes d'infanterie de marine argentin , seulement quelques semaines plus tard ils débarquaient dans les îles des malouines , la bataille commença .ce conflit peut faire d'excellents scénarios (sas,sbs,attaque frontal , sabotage etc etc ....).marc
La guerre des Malouines (en anglais : Falklands War, en espagnol : Guerra de las Malvinas) est un conflit entre l'Argentine et le Royaume-Uni à propos de la souveraineté sur les îles Malouines, situées à 480 km des côtes argentines et peuplées de descendants de Britanniques, entre avril et juin 1982. Bien que surpris par l'attaque argentine sur les îles, le Royaume-Uni réagit et chassa les troupes argentines. En Argentine, l'échec contribua à la chute de la junte militaire et à la transition démocratique.

Le 26 mars, le général Leopoldo Galtieri décide d'envahir l'île de Géorgie du Sud, située à quelques milliers de kilomètres des îles Malouines mais dépendantes, politiquement, de celles-ci. Baptisée « Operación Rosario », l'opération est dirigée par l’amiral Anaya et Alfredo Astiz .

Attaque argentine.Le gouverneur des îles Malouines Rex Hunt fut informé par le gouvernement britannique d'une invasion argentine possible le 31 mars et prépara la défense avec les majors Mike Norman et Gary Noot, à la tête de 67 marines, plus que ce dont ils auraient dû disposer : la garnison étant sur le point d'être relevée, les troupes arrivant et celles partant étaient sur l'île en même temps. Ce total fut réduit à 55 quand 12 marines embarquèrent à bord du bateau de patrouille Endurance pour observer les soldats argentins basés dans la Géorgie du Sud. Enfin, la force fut appuyée par 23 volontaires à temps partiel dispersés dans des points stratégiques alors que les casernes de Moody Brook étaient abandonnées.

Le 2 avril, le destroyer argentin Santisima Trinidad s'arrêta à 500 mètres de la crique Mullet et débarqua 21 engins d'assaut argentins Gémini avec 92 commandos.

À 5 h 45, les Argentins avaient atteint leur premier objectif, les casernes Moody Brook et y lancèrent une attaque puissante, utilisant des armes lourdes et des grenades au phosphore . Elle prit fin quand les Argentins s'aperçurent que les casernes étaient abandonnées. Les premiers prisonniers britanniques furent faits ce jour.

Le 3 avril, Rex Hunt et le major Norman décidèrent de capituler, suivis le lendemain de la section du caporal York.


Les Royal Marines prisonniers le 2 avril 1982.Après la reddition, les Royal Marines et les volontaires furent rassemblés dans les terrains de sport. Des photos furent prises, photos qui galvanisèrent l'opinion publique britannique quand elle les vit. Ensuite, les hommes furent emmenés en Uruguay, puis au Royaume-Uni. Un marine prédit à un garde argentin : « Ne vous installez pas trop confortablement, nous allons revenir ». Ce qui fut fait 72 jours plus tard.

Les Argentins envahirent dans le même temps aussi la Géorgie du Sud-et-les Îles Sandwich du Sud, mais alors qu'ils ne croyaient avoir à faire qu'à des scientifiques, n'ayant donc envoyé qu'un navire de transport escorté d'un seul aviso de la classe d'Estienne d'Orves, ils tombèrent sur un détachement de Royal Marines qui, avec leur lance-roquettes, abattirent un hélicoptère Puma et infligèrent de tels dégâts à l'aviso que celui-ci dut se mettre à l'abri. Toutefois, peu de temps après, les Britanniques s'inclinèrent devant les troupes argentines. À Buenos Aires, de grandes foules agitant des drapeaux inondèrent la Plaza de Mayo en entendant les nouvelles. À Londres, le gouvernement était stupéfait.

Londres organise en peu de temps une pression diplomatique à l'encontre de l'Argentine, tout en constituant une armada autour des porte-aéronefs HMS Invincible et HMS Hermes. Bien que l'opinion publique britannique soutînt l'intervention et Thatcher, très impopulaire avant le conflit, la communauté internationale se montra plus divisée. Pour certains États, il s'agissait d'un conflit entre un pouvoir colonial et un État régional. Toutefois, en raison de son caractère dictatorial, le régime argentin peina à obtenir un soutien. La crainte de voir leurs frontières remises en cause groupa une majorité d'États aux Nations Unies en faveur du Royaume-Uni.

Le 3 avril, alors que la Géorgie du Sud-et-les Îles Sandwich du Sud sont occupées par les Argentins, les premiers avions de transport britanniques arrivent à l’île de l'Ascension.

.Le 5 avril, le gros de la force d'intervention britannique (porte-avions et transporteurs de troupe), rassemblée et préparée en moins de 5 jours, quitte Portsmouth pour l'Atlantique sud. Pour éviter de causer des victimes civiles , une zone d'exclusion militaire de 320 km fut établie le 7 avril autour des îles, à l'intérieur de laquelle tout navire argentin serait considéré comme ennemi . Rejetant l'argument de « légitime défense », l'URSS déclara ceci illégal, considérant apparemment que cela limitait démesurément la liberté de navigation. De son côté, Buenos Aires qualifia le blocus d'« acte d'agression » qui tombait sous le coup de la résolution 3314.

Le 8, les destroyers Broadsword et Yarmouth quittent Gibraltar, suivi le lendemain du Canberra qui quitte Southampton avec 2 000 hommes. Le 10, le premier groupe de destroyers (Antrim) arriva à l’île d'Ascension.
un sous-marin britannique coule le croiseur General Belgrano, qui naviguait hors des eaux interdites aux Argentins , envoyant plus de 300 hommes par les fonds et faisant capoter le processus diplomatique encore en cours .

Aides d'autres pays L'Union soviétique aurait proposé, selon l'astronome et journaliste Pierre Kohler, la fourniture de renseignements à l'Argentine et lancé du 31 mars au 15 mai un total de 18 satellites militaires (neuf de navigation, cinq satellites d'espionnage photographique, deux satellites de surveillance océanique, deux satellites d'écoute électronique, un satellite de télécommunication et un satellite d'alerte , tandis que la Libye offrit des armes en échange de renseignement sur la recherche nucléaire .

Le Pérou a non seulement soutenu l'Argentine diplomatiquement mais aussi militairement, avec des opérations de renseignement et la vente, malgré l'embargo, de 10 Mirage M5-P pour 5 millions de dollars chacun (alors qu'ils étaient estimés à 20 millions de dollars chacun). Le Pérou fut un des pays d'Amérique latine à avoir soutenu ouvertement l'Argentine lors de ce conflit.

La contribution américaine à la Grande-Bretagne fut la fourniture de la plus récente version L des missiles AIM-9 Sidewinder et de renseignements collectés par les satellites espions ainsi que la mise à disposition de satellites de communications militaires . En remerciement, Weinberger et Reagan furent faits chevaliers d'honneur de l'Empire britannique par la reine Élisabeth II.

Le président français François Mitterrand demanda aux services de renseignement de transmettre aux Britanniques des informations concernant les avions Mirage et les missiles Exocet vendus auparavant par Paris à Buenos Aires , la France ayant une mission de coopération militaire en Argentine depuis 1959.

Préparation de la réplique britannique,En raison de l'éloignement entre les Malouines et le Royaume-Uni, les Britanniques devaient utiliser une force aéronavale autonome commandée par le contre-amiral Sandy Woodward (le prince Andrew d'York servit alors comme pilote d'hélicoptère sur l'Invincible). Une seconde composante était la force d'assaut amphibie sous les ordres du commodore M. C. Clapp embarquée, entre autres, dans le bateau de croisière réquisitionné Canberra. Les troupes terrestres débarquées étaient sous le commandement du brigadier général Julian Thompson (Commandant de la 3e Brigade Commando). Elles comprenaient principalement trois bataillons des Royal Marines (Commandos) et deux bataillons Para. L'ensemble des forces était sous la coordination de l'amiral John Fieldhouse.

La France participa de manière importante à la préparation britannique. Des exercices eurent lieu au large de la Bretagne entre les deux armées et des informations confidentielles furent transmises par la France sur la position et les caractéristiques des Super-Etendard et Exocet vendus à l'Argentine. De plus, les forces britanniques purent faire escale à Dakar grâce aux Français.

Cette opération reçut le nom de code Corporate. La presse la baptisa « l'Empire contre-attaque ».

La Géorgie du Sud ,Le 21 avril, le groupe de l'Antrim commence ses reconnaissances autour de la Géorgie du sud. Le 25, les forces britanniques des SAS débarquent en Géorgie du Sud dans le cadre de l'opération Paraquat. Malgré une météo difficile, l'île fut reprise, le commandant Alfredo Astiz signa la reddition sans conditions de ses forces sans avoir tiré un seul coup de feu et fut fait prisonnier de guerre. Le sous-marin argentin Santa Fe, attaqué par un hélicoptère, fut abandonné par son équipage.

1er mai : raids Black Buck
Un Bombardier Avro Vulcan en approche de l'île de l'Ascension le 18 mai 1982.Article détaillé : SAS dans la guerre des Malouines.Le 1er mai, les opérations contre les Malouines s'ouvrent avec les attaques de nuit par des Avro Vulcan de la Royal Air Force, basés sur l'île de l'Ascension, lors de l'opération Black Buck 1 contre l'aéroport de Port Stanley. Ces avions à rayon d'action moyen devaient être ravitaillés plusieurs fois et les ravitailleurs Victor devaient être eux-mêmes ravitaillés en vol, ce qui obligea à un effort logistique important (11 Victor). Une seule bombe toucha l'objectif mais les Argentins, se rendant compte de leur vulnérabilité, décidèrent de maintenir leurs avions à réaction sur le continent. On considère que cette mission fut un échec tactique mais une réussite stratégique.


Le chasseur Sea Harrier.Quelques minutes après Black Buck, neuf Sea Harrier du Hermes poursuivirent le raid en lâchant des chapelets de bombes sur Port Stanley et les terrains d'aviation à Goose Green. Les deux missions détruisirent des avions au sol et firent quelques dégâts sur les infrastructures des aéroports. La Fuerza Aerea Argentina lança une attaque avec le Grupo 6, dès le début des opérations de débarquement. Quatre de ces appareils furent détruits par les Sea Harriers tandis que les combats s'engagèrent entre d'autres Harriers et les chasseurs Mirage III du Grupo 8. Chaque côté refusant de se battre à la meilleure altitude de l'autre, les Mirages furent contraints de descendre. L'un des Mirages fut abattu et un autre, endommagé, se dirigea vers Port Stanley où les défenseurs argentins, victimes de la confusion, l'abattirent.

Des forces spéciales britanniques SAS et SBS sont débarquées sur les Malouines pour des missions d'observation.

2 mai : Naufrage du Belgrano
Naufrage du croiseur Belgrano : plus de 300 morts, soit la moitié des pertes argentines durant la guerre.Le 2 mai, le croiseur datant de la Seconde Guerre mondiale ARA General Belgrano fut coulé par le sous-marin nucléaire d'attaque HMS Conqueror hors de la zone d'exclusion alors que celui-ci recherchait le groupe aéronaval du Veinticinco de Mayo. 323 Argentins périrent. Le journal britannique The Sun titra « GOTCHA! » (« On vous a eus ! »). Cette perte durcit l'attitude de la junte, qui rompit les négociations, et fut utilisée au Royaume-Uni par les antimilitaristes .

Lorsque le navire (porte -aeronef,Veinticinco de Mayo ) argentin quitta le 28 avril son port d'attache avec la Task Force 79, c’était pour faire face à la marine britannique qui arrivait sur zone à vive allure. Le 2 mai, les Grumman S-2E Tracker prirent contact avec l’avant garde Britannique, et les A4Q furent armés de bombes de 227 kg et parqués en attente d’un assaut. Ils tentèrent d’attaquer la flotte britannique le 2 mai 1982, mais le mauvais temps, l’absence de vent gênant les opérations aériennes, la perte du contact avec les navires britanniques puis la perte du croiseur Général-Belgrano mirent fin à ces tentatives.

Si selon le droit de la guerre, un navire belligérant peut être coulé aussi bien dans les eaux internationales que dans celles des pays en guerre[réf. souhaitée], le Belgrano s'éloignait de la zone d'exclusion et n'aurait, selon certains, plus constitué une menace lorsqu'il avait été attaqué. Margaret Thatcher a toujours affirmé que le navire représentait une menace contre les forces britanniques, ce qui fut confirmé par des documents britanniques déclassifiés en 2003 selon lesquels le croiseur Belgrano avait reçu la veille l'ordre d'attaquer les forces britanniques, ordre qui fut intercepté par le GCHQ. Par ailleurs le Royaume-Uni avait prévenu le 23 avril l'Argentine de sa faculté à attaquer les navires ennemis hors de cette zone.


En dépit des controverses, ce torpillage eut une importance stratégique : toute la flotte argentine, y compris les deux destroyers de support du Belgrano, se réfugia dans les ports, obéissant aux ordres de l'amiral Anaya, le plus belliciste des trois généraux , et autour du porte-avions Veinticinco de Mayo, ce qui soustrayait une menace pour l'escadre britannique. Les forces aériennes argentines entrèrent alors en scène .

Le 3, deux hélicoptères Lynx du HMS Coventry et HMS Glasgow coulèrent deux patrouilleurs argentins.

4 mai : Exocet
Le couple Super-Étendard/missile Exocet fut employé de façon efficace par l'Argentine qui ne disposait que de 5 AM-39 lors du conflit.Deux jours après le naufrage du Belgrano, le 4 mai, les Britanniques perdirent le destroyer du type 42 HMS Sheffield, en mission de couverture radar, après le tir d'un missile Exocet (cette information et cette date furent contestées par les Argentins ). Lorsque les navires furent détectés par une patrouille de P-2 Neptunes argentins, deux Super-Étendards, armés d'un Exocet chacun, furent envoyés. Ravitaillés par un C-130 peu de temps après le décollage, ils s'approchèrent à basse altitude, et lâchèrent les missiles à une distance de 30 et 50 km. D'après les Britanniques, l'un rata le HMS Yarmouth, mais l'autre toucha le Sheffield, entraînant la mort de 22 marins. Il coulera le 10 mai lors de son remorquage pour la Géorgie du Sud. Cependant, d'après le pilote de chasse Jean-Pierre Otelli, après l'attaque, aucun avion ne décolla de l'HMS Hermes, et quelques heures après, il fut évacué de la zone des combats à vitesse réduite, puis le lendemain, ses avions furent transférés sur le HMS Invincible.

Pendant qu'il combattait l'incendie, le Yarmouth subit l'attaque d'un sous-marin de la classe Guppy qui lui lança neuf torpilles. Aucune des torpilles Telefunken n'explosa, ce qui déclencha un litige avec l'Allemagne à la fin de la guerre. Néanmoins, les destroyers furent retirés de la zone de combat, laissant l'escadre principale avec moins de protection.

Les conditions météorologiques se dégradaient avec l'arrivée de la mauvaise saison, tandis que le 7 mai, Londres déclara que tout navire ou aéronef militaire argentin à plus de 12 miles nautiques des côtes argentines serait attaqué .

Le 9 mai, le chalutier espion argentin Narwal est coulé. Les positions autour de Stanley sont bombardées par la marine et les Harrier.
Le 11, le bâtiment de ravitaillement argentin Isla de Los Estados est coulé par le HMS Alacrity.
Le 12, le Queen Elisabeth 2 quitte Southampton avec la 5eme brigade d'infanterie à son bord, le contingent britannique en route pour les Malouines compte près de 10 000 hommes. Quatre Skyhawk argentins sont abattus en opération. Le HMS Glasgow est touché par une bombe qui n'explose pas.



Un Douglas A-4C Skyhawk argentin ravitaillé en vol le 9 mai 1982. 20 avions de ce type, furent perdu durant ce conflit. Ils coulèrent 3 navires britanniques et en endommagèrent plusieurs autres.Le 15, trois Skyhawk argentins sont abattus. Un raid des SAS sur Pebble Island se solde par la destruction au sol de 11 avions argentins.
Le 16, les bombardements des installations militaires autour de Stanley continuent, trois navires argentins sont touchés.
Le 20, un hélicoptère Sea King du HMS Invincible tombe près de Punta Arenas au Chili, les trois membres d'équipage seront rapatriés par la suite. Il est très probable que cette mission avait pour but de débarquer des membres des forces spéciales afin d'observer les mouvements d'avions des principales bases de l'aviation argentine.

21 mai : débarquement à Port San Carlos
Carte du débarquement.Au cours de la nuit du 21 mai, les Britanniques organisèrent un débarquement amphibie de 4 000 hommes sur les plages sur la côte Nord des Malouines, à 100 km à l’ouest de Stanley, et s'assurèrent de son contrôle. 17 avions argentins et 4 hélicoptères sont détruits. Le plan visait à se rendre maître de Darwin et Goose Green avant de se tourner vers Port Stanley.

23 mai. La tête de pont est consolidée, 5 000 hommes sont à terre. Un Harrier est perdu en mer. Les Argentins perdent 8 avions.

Le 25 mai, les Argentins perdent 5 avions. Le 27 mai, les 263 survivants du Sheffield arrivent en Grande-Bretagne. Les installations à terre de San Carlos sont attaquées pour la première fois. Les Argentins perdent deux avions.

En mer, la faiblesse des défenses antiaériennes des navires fut démontrée dans le naufrage de la frégate HMS Ardent le 21, HMS Antelope le 23, qui coulera lors d'une tentative de désamorçage d'une bombe non-explosée, et le MV Atlantic Conveyor, coulé par un missile Exocet lors d'une attaque dirigé contre le groupe principal de la Task Force, avec une cargaison essentielle d'hélicoptères et de composants de piste le 25. Ce jour-là le Coventry, du même type que le Sheffield, est coulé par 3 bombes de 500 kg alors qu'il était avec le HMS Broadsword. Les destroyers Argonaut et le Brilliant furent gravement endommagés. L'Antrim eut deux bombes non-explosées à son bord.

Les Argentins perdirent plus de trente avions et hélicoptères dans ces attaques. Des rapports après la guerre indiquèrent que les dégâts auraient été bien plus importants pour les Britanniques si des commandos n'avaient pas détruit des avions au sol, le 15.

27 mai : Goose Green
Carte de Goose Green.Bien qu'inférieur en nombre (1 contre 3), les parachutistes britanniques approchèrent et attaquèrent les sites de Darwin et de Goose Green les 27 et 28 mai, qui étaient tenus par le 12e régiment d'infanterie argentin. Après une bataille qui sera la plus longue et la plus dure du conflit durant laquelle l'aviation argentine utilisa entre autres du napalm, dix-sept Britanniques et deux cents Argentins perdirent la vie, mille quatre cents de ces derniers furent prisonniers. La BBC annonça la victoire avant qu'elle ne soit effective.

Après avoir éliminé le danger de l'important contingent de Goose Green, les forces britanniques purent faire une percée vers l'est depuis la tête de pont de San Carlos, soit en marchant, soit transportées par hélicoptères. Le 31 mai, les troupes britanniques atteignent le mont Kent à 20 km de Stanley. L'aviation argentine perdit encore deux Skyhawk lors d'attaques contre la flotte britannique.

Le 1er juin, avec l'arrivée de 5 000 soldats britanniques supplémentaires de la cinquième brigade du paquebot Queen Elisabeth 2, le nouveau commandant de division, le major général J.J. Moore RM, disposait d'assez de troupes pour lancer une offensive contre la garnison de Port Stanley.

Le 5 juin, le 42e bataillon de commandos de la Royal Marine occupe le mont Challenger. Un hélicoptère britannique Gazelle est abattu par un tir ami.

Pendant ces préparatifs, les attaques aériennes argentines continuèrent, faisant 48 morts, y compris 32 gardes du Pays de Galles à bord des Sir Galahad et Sir Tristam le 8 juin à Fitzroy. De nombreux soldats contraints de rester à bord à cause de la perte des hélicoptères de l'Atlantic Conveyor furent victimes de brûlures. Une barge de débarquement du HMS Fearless est attaquée par 4 Skyhawk, 3 avions argentins sont abattus par une patrouille de Harrier. Le HMS Plymouth est endommagé par une attaque aérienne. Un Sea Harrier est abattu près de Stanley.

Le 10 juin, une patrouille d'observation des SAS est attaquée lors de la seule action militaire sur West Malouines.

11 juin : Bataille pour Port Stanley
.Dans la nuit du 11 juin, après plusieurs jours de reconnaissance difficile et la mise en place de la logistique, les forces britanniques, appuyées par l'artillerie, lancèrent une brigade à l'offensive du Mont Longdon, défenseur des hauteurs de Port Stanley. Treize Britanniques furent tués quand le Glamorgan, qui fournissait un appui-feu, fut touché par un Exocet tiré depuis une remorque de camion dételée auparavant, aménagée en batterie improvisée. Une habitation dans la banlieue de Stanley est touchée par les tirs britanniques, trois civils seront tués, les seuls de tout le conflit.

Au matin, les positions argentines étaient enlevées après plus de 24 heures parfois au corps à corps. La nuit du 13 juin, la seconde phase fut enclenchée pour reprendre Wireless Ridge et le Mont Tumbledown, 9 Britanniques et 32 Argentins perdirent la vie. Stanley est complètement encerclé.

Le 14 juin, le commandant de la garnison, Mario Menendez, offrit sa reddition avec 10 254 hommes. La souveraineté britannique est restaurée sur l'ensemble des territoires des Malouines. Le 18 juin, le Canberra et le Norland appareillent pour Puerto Madryn pour rapatrier les prisonniers argentins. Le 20 juin, la fin des hostilités est officiellement déclarée par les Anglais.

Cette guerre de 72 jours causa la mort de 255 Britanniques et 649 Argentins.

POUR INFO LA FIN DE LA GUERRE NE FUT JAMAIS SIGNER , il eu aussi des commandos (sbs,sas)sur le sol argentins .
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rapport d'un raid SAS a lire :
Au cours de la guerre des Malouines, la piste d'atterrissage sur Pebble Island a été utilisée par les Argentins comme base pour plusieurs de leurs sol de l'île elle-même, une petite étendue de terre d'environ 35 km de long, est un désert, lieu balayé par le vent. Au moment de la guerre des Malouines il était à la maison à seulement cinq familles, qui ont tous passé à vivre à proximité de la piste d'atterrissage. Comme l'île est située au nord-ouest de West Falkland, l'avion argentine poserait une menace majeure pour les forces britanniques qui ont été mis à terre sur East Falkland. Ils ont donc dû être détruites avant le débarquement pourrait avoir lieu. Le Special Air Service a reçu cette mission. Le raid contre la bande d'atterrissage a eu lieu dans la nuit du 14/15 mai 1982, mais l'avance de renseignement devaient être réunis. Et en temps opportun des renseignements précis est crucial pour le succès de toute mission des forces spéciales, et les uns contre Pebble Island ne fait pas exception. L'exposé qui suit est d'un membre de l'Escadron D qui ont pris part à l'action:

«À nos séances d'information initiale, nous a dit que les ingénieurs Argie avaient débarqué sur l'île de Pebble et ont été la préparation de la piste d'atterrissage comme une base de maintenance de leurs appareils, qui avait été volé dans de la terre ferme pour soutenir la garnison de Stanley. Cela a été confirmé quand un pilote de la RAF Harrier, retour à Invincible après un bombardement, avaient observé une Pucara décoller de la piste d'atterrissage. La Pucara est pisse-pauvres dans l'air-air à la rencontre afin que nos pilotes ont été Harrier pas trop la peine à leur sujet, mais dans le rôle d'attaque au sol, c'est autre chose. Conçu dès l'origine comme un avion de contre-insurrection, le Pucara est armé de deux canons de 20 mm et quatre mitrailleuses de 7,62 mm. En outre, il peut transporter une charge utile de 1500 kg externes, y compris les bombes, le napalm et des roquettes. Contre les troupes légèrement armées qui viennent d'un débarquement amphibie mené un petit nombre de pucaras pourrait infliger beaucoup de dégâts, alors ils ont dû être retirés. »Le 10 mai, huit des mecs de bateau de l'escadron des troupes était allé à terre dans Klepper [canots de deux hommes utilisé par le régiment et le Special Boat Squadron] pour évaluer le niveau d'activité ennemie, tandis que le bord du porte-Hermes un plan de lancer une attaque contre la piste d'atterrissage a été mis en vigueur. Certains des garçons, toujours les pragmatistes, a suggéré de bombarder, mais ce n'a pas été retenue pour deux raisons. En premier lieu, les civils vécu trop près de la piste d'atterrissage. Deuxièmement, les Harrier n'aurait pas assez de temps sur la zone cible [les deux transporteurs Hermes et Invincible se trouvaient ainsi à la mer avant le débarquement de les protéger contre toute attaque aérienne] de garantir à tous l'avion serait détruit. "

Avec tous les problèmes inhérents à une attaque aérienne, la décision a donc été prise d'utiliser l'Escadron D lors d'un raid classique hit-and-run. Pour l'imagination du public et les médias, c'est ce que le SAS est tout au sujet, mais aux hommes qui ont pour mener à bien cette mission, c'est une opération qui est lourde de dangers et de pièges.

«Les gens ne réalisent pas ce qui est impliqué avec ces types de missions, et cela vaut pour certains des hauts gradés trop. J'ai parlé à des gars qui composent le reco après tout était fini et ils ont été bien embêté, ils ont été larguées sur un promontoire à distance de plusieurs kilomètres de Pebble et avait à pagayer dans la mer ouverte avant de pouvoir installer un poste d'observation OP [ ] sur l'île. Cependant, les vents violents ont fait le voyage de la mer un cauchemar, vous ne réalisent pas combien il vente, il est dans les Malouines, même les ajoncs sont courbés par le vent non-stop.

«Une fois qu'ils ont finalement obtenu sur l'île, ils avaient un autre problème: l'établissement d'un« cacher ». Sur le terrain ouvrir ce fut extrêmement difficile, comme le motif prévu très peu de couverture, soit à l'ennemi ou les éléments. Il ressemble beaucoup à Brecon, c'est à dire très peu d'arbres et des charges de ajoncs. Rappelez-vous, au moins sur Brecon vous n'avez pas que le vent bâtard, eh bien, pas tout le temps. "

Le parti d'observation a trois tâches principales: pour confirmer la présence et le nombre d'avions argentins sur les galets, pour évaluer la force de l'ennemi dans et autour de la piste d'atterrissage, et de travailler sur les routes dans et hors de la zone pour la partie de pillage. Une fois en place, le PO renvoyé à Hermes. Les nouvelles n'étaient pas bonnes:

«Notre équipe à terre a confirmé qu'il y avait plusieurs pucaras exploitation de la piste, mais le nombre de personnel sur le terrain en Argentine a été difficile pour eux d'évaluer dans le temps limité disponible. En outre, les liaisons à destination et en provenance de l'objectif ont été signalés à être comme le reste des Malouines: nu et facilement contrôlée par les Argentins. **** ING grande!

La maison temporaire pour l'Escadron D durant cette période a été le porte-Hermes. Lorsque le navire a quitté Portsmouth le 5 avril 1982, il y avait un petit groupe de soldats à bord SAS, avec une compagnie de Royal Marines et certains Special Boat Squadron (SBS) personnel; Plus de soldats SAS rejoint le navire à l'île d'Ascension. En service britannique (elle est maintenant avec la marine indienne et a appelé Viraat), Hermes. était essentiellement un transporteur anti-sous-marine, être équipés avec des hélicoptères Sea King et un petit nombre de V / STOL (Vertical / Short Take-Off et d'atterrissage) les aéronefs. Dans le conflit des Malouines, elle pourrait également avoir rempli un autre titre: le transport de l'ensemble du 3 e Commando de la zone de guerre. En l'occurrence, il a été décidé que Hermes porterait les hélicoptères Sea Harrier et et non pas des Royal Marines. La vie à bord était à l'étroit pour le moins (le navire a été le siège de contre-amiral John Woodward. Commandant du principal groupe de navires de surface au cours de 'Corporate' opération.), Mais les soldats SAS frappé un bon *** **** avec les équipages de 846 e Escadron de la base aéronavale. qui avait trois hélicoptères Sea King qui pour soutenir les forces d'opérations spéciales. Ceux-ci seraient de l'avion qui transporterait les hommes à Pebble Island:

"L'avion avait aucun équipement spécial à cette époque, bien que les équipages ne se sont considérablement plus d'heures de vol et d'expérience que d'autres pilotes. Un gros bonus, dont nous étions tous heureux, la question a été soudaine de la vision nocturne passive des lunettes de pilotes de la Navy. Cette pièce d'équipement, dans sa forme la plus simple, ressemble à une paire de jumelles salut-technologie, mais il améliore toute situation nuit dans une image verte de la lumière du jour vue d'aider l'équipage de. Ironiquement, ce petit trésor de l'équipement, qui était déjà largement en cours d'utilisation avec les Américains, a été délivré à la Somerset basée Escadron Naval Air par le Royal Aircraft Establishment quelques jours avant qu'ils volaient à bord de Hermes, laissant très peu de temps pour la formation. "

Avec tous les renseignements disponibles recueillies, le raid a été prévue pour la nuit du 14/15 mai. À l'origine, la SAS avait été donné la tâche de détruire l'avion argentin, leurs équipes au sol et de la garnison de l'île. Toutefois, en raison des fortes turbulences Hermes a pris plus de temps pour atteindre le point de voler à pied que prévu. Cela signifiait que les soldats SAS aurait très peu de temps sur le terrain pour mener à bien leurs tâches. L'appareil est ainsi devenu la cible prioritaire. Les Sea King devrait être de retour sur Hermes avant le jour, comme elle et son escorte (la frégate et le destroyer Glaive, Glamorgan.) Devait être bien à l'est de l'île afin de minimiser la menace posée par le Groupe Air argentine. La source continue:

«Comme nous avons préparé notre matériel et a assisté à la séance d'information le premier vol avec le patron de 846 e Escadron de la base aéronavale, ce gars-là apparaît, il était un agent de magasins je pense, et nous a dit que nous n'aurions jamais descendre le pont jusqu'à ce que la météo s'améliore. Il avait un point. Le vent avait soufflé toute la journée, ce qui a empêché les pales de l'hélicoptère se propage sur le pont d'envol (sous le pont, ils étaient rangés avec leurs pales repliées). Cependant, tard dans la soirée il y avait une "fenêtre météo" qui a permis aux gestionnaires d'hélicoptère, ou «chocheads" comme on les appelait, à cause de leur habitude de ramper sous les hélicoptères et la mise cales de roue sur l'avion, afin de préparer la mer trois Rois de la mission. "

Le Sea King du 846 e Escadron sont optimisés que les transports d'assaut et sont désignés Sea King HC MK 4. Conçu pour voler par tous les temps, ils sont équipés d'une suite avionique complète, qui comprend un radar Doppler de navigation, pilote automatique et un système d'auto-stationnaire. Le fuselage peut contenir jusqu'à 19 soldats entièrement équipés, et l'avion peuvent également être équipés de mitrailleuses, de roquettes et de blocs de roquettes si nécessaire.

Comme les hélicoptères ont été préparés pour la mission, les 45 hommes de l'Escadron D qui se chargera de l'attaque ont reçu un exposé final:

«Lors du briefing int on nous a dit qu'il y avait eu plus confirmé les observations des aéronefs ennemis de la piste d'atterrissage. Informations complémentaires recueillies auprès des Royal Marines qui avaient servi dans les années Malouines plusieurs avant l'invasion a révélé que la piste d'atterrissage était inférieure à 100 m de la maison la plus proche, et que toute la zone était fiat et ouvert, ce qui confirme nos propres informations à partir des gars dans le bateau Troop. Cela nous a fait un peu nerveux, parce que si nous avons été heurté nous aurions tous bougre couvrir du feu ennemi.

«Le raid a été donné le nom de code
Opération "Prelim". Le plan était d'utiliser deux groupes de fournir un appui-feu pour la partie de pillage, alors qu'un autre serait fermer les abords de l'aérodrome. Un groupe de feu supplémentaire escorter le groupe de raid à l'aérodrome et d'attendre en réserve pour réagir à toute partie argentine de contre-embuscade qui avait été élaboré à la suite de leur nous regardent. Le groupe de raid, ou d'un groupe tueur, aurait frappé l'avion et les frais usine d'explosifs sur eux, ou qui utilisent les lois si une présence ennemie empêché les frais de mise. "

La loi est la M72 Light arme antichar, un lance-roquettes jetable américaine. Il est utile pour les opérations de type SAS, car il est léger, ce qui signifie que plusieurs peuvent être transportées par un seul homme. Il est également précis et peuvent pénétrer amour jusqu'à 335mm d'épaisseur (si la version utilisée dans les Malouines par le SAS était seulement efficace contre la lumière amour). Parce que les feux d'une ogive à explosif brisant, le M72 est puissant contre les cibles tels que les avions à l'arrêt. Le SAS a également lourd de soutien sous la forme d'un mortier de 81mm et appui-feu naval du HMS Glamorgan, un navire de défense aérienne pour Hermès. Le mortier était allé à terre avec Boat Troop, si les bombes réelles ont été portés par les hommes de la partie de pillage, qui les a amenés à la plaque de base avant de passer à leurs positions de départ. Également mis à terre était une unité d'observation avant de 148 batterie, dont la tâche était de donner les coordonnées exactes de Glamorgan, puis observer et corriger les bombardements comme il est venu en suite de l'exposé final, les hommes ont été émis avec leurs équipements personnels:

«Chacun de nous portait M16 avec trois mags de rechange pour chaque et une charge additionnelle de 200 tours de 5,56 mm. Nous n'avons pas l'habitude de bande d'un magazine de rechange à celui déjà dans l'arme. Pour une chose, vous pouvez modifier un mag pour un dans une pochette aussi vite que deux qui sont collées ensemble. Et de toute façon, quand vous êtes dans le domaine de ramper à travers toutes les **** pour arriver à l'objectif, comme la boue et l'eau, il est tous dans le mag enregistrée à votre arme. Lorsque vous changez de mags et insérez la rechange, toutes les **** est poussé dans le récepteur. Vous obtenez alors un bourrage au moment où vous ne voulez pas une, c'est à dire au milieu d'un échange de tirs.

«Le M16 est une bonne arme pour le travail à courte portée, parce que c'est court, léger et a une létalité élevée en étroite Ce n'est pas si bon pour un travail à long terme, cependant, et il n'a certainement pas la puissance de freinage de la bonne SLR vieux [Auto-chargement de fusil].

Pourtant, le gain de poids au cours de la SLR en vaut la peine, et cela vaut pour les munitions trop, et de toute façon, pour le raid nous avons seulement besoin d'une arme pour travailler à proximité. Nous avons tous pris grand soin de nos M16, que l'arme n'est pas vraiment comme une manipulation brutale, qui peut être un peu de problème, surtout en terrain comme les Malouines où il est constamment humide et venteux. Les premiers Américains ont vanté le M16 comme une arme d'auto-nettoyage, et n'a même pas la peine d'émettre des kits de nettoyage. Naturellement, il y avait une foule d'armes coincé quand il est entré en service. Ils ont alors émis des kits de nettoyage très rapidement, mais pas avant plusieurs de leurs gars avait été tué à cause de confitures. «Certaines de ces armes ont été équipés de lance-grenades M203 de tir élevée grenades explosives. Les gens se passionnent lance-grenades, mais je ne vois pas le point de beaucoup de temps. OK, vous avez une arme qui peut lancer une grenade sur une distance d'environ 300m, ce qui est une distance supérieure à un homme peut jeter (même dans le régiment!), Mais la grenade ne va que dans une ligne droite. Il ne peut pas faire le tour de la couverture, contrairement à une grenade à main levée. En outre, et c'est quelque chose que beaucoup de gens ne réalisent pas, les deux tiers de grenade réelle tend à être le fusible, ce qui signifie que vous ne recevez pas un aussi grand bang que vous attendez. Ajouter à cette imprécision générale, le M203, et vous avez l'idée générale. Pourtant, pour avoir frappé un aéronef immobile à courte portée, ils sont suffisamment efficaces, et c'est pourquoi nous les avons pris. "

Sangles et les vêtements sont également importantes sur les opérations des forces spéciales, et ce n'était pas différente de la mission Pebble Island:

«Le contenu de notre sangle est toujours une haute priorité. En plus d'effectuer chargeurs de fusils et de grenades, sangle Malouines comprenait une trousse de survie, les bouteilles d'eau, un sac de bivouac [un sac de couchage en Gore-Tex cover] et de la nourriture. Chacun de nous mesure notre sangle selon les goûts. Par exemple, beaucoup de garçons portaient deux 44 bouteilles d'eau modèle avec tasses en métal, qui sont idéales pour faire une infusion et économiser de l'espace. Allumettes imperméables sont toujours une priorité et sont généralement dans de petits contenants en plastique, qui sont eux-mêmes étanches. Chaque homme aura aussi sa propre trousse médicale, si une seule personne dans la section portera toujours un spécialiste trousse médicale. Syrettes de la morphine sont toujours portées autour du cou pour un accès facile, et deux pansements sont généralement enregistrées à la sangle.

«Chapeaux en laine sont toujours portés, comme beaucoup de la chaleur du corps peuvent être perdues si la tête n'est pas couverte. Dans n'importe quel environnement, mais surtout les Malouines, vous devez protéger contre l'hypothermie. Nous avons tous portaient des gants d'escalade, avec les doigts découpés pour faciliter la manipulation des choses plus facile, comme une réserve. Nous avons tous eu des grenades au phosphore blanc, avec un bon vieux pistolet neuf milly sous le bras dans un étui. Pour nous empêcher de congélation nos couilles nous portions soit vestes vertes Gore-Tex ou coupe-vent blouses arctique, beaucoup de mecs choisissent la seconde parce qu'ils ont d'immenses poches pouvant accueillir petits extras, tels que la nourriture. "

Bien que la protection contre le froid est très important, les raiders Pebble Island ne sont pas plus habillé. Ils avaient encore à accomplir leur tâche, et qu'ils portaient une grande partie du matériel. S'ils portaient des vêtements trop grand nombre ils transpirez beaucoup. Ce n'est pas un problème si vous êtes en mouvement, mais si vous vous arrêtez, puis la sueur se refroidit, entraînant la perte de chaleur corporelle.

«Nous portions DPM [dessin de camouflage

Matériel pantalons] léger. Ils sont minces, mais ils se dessèchent très rapidement après avoir mouillé. Norvégienne shirts de l'armée ont été un favori avec le régiment pendant de nombreuses années, et je portais un avec une tête de plus: un tube de laine qui glisse sur votre tête et peut être porté autour du cou en fonction de la météo. «Contre le vent amer une chemise armée norvégienne et une blouse ne pense pas que chaud, mais dès que vous commencez à onglet le corps se réchauffe et que vous n'êtes pas si froid. Tous les vêtements de rechange est planqué dans la bergen. Il est toujours préférable de porter moins de vêtements en se déplaçant et mettre des vêtements chauds et secs en cas d'urgence. Notre Bergens contenait aussi des jumelles, un trépied sites du champ de montée et de la nuit, ce dernier étant une variante de la vue individuel armes utilisées en Irlande du Nord. Nous avons tous réalisé suffisamment de rations pour nous durer trois jours, juste au cas où nous avons été piégés par la météo. Un autre point très populaire de vêtements a été un ensemble de piqué pantalon vert, qui étaient idéales pour passer comme un éclair sur votre poids légers quand il est couché dans un "cache" dans la journée. "

Comme Hermès, Sabre. Glamorgan et fit voile vers l'île, les hommes préparé leurs équipements. Ballotté par une mer forte, les trois navires fait des progrès lents. Sabre's Sea Wolf à courte portée système de missiles surface-air sont devenus défectueux et elle a commencé à glisser en arrière. Glamorgan navigué à moins de 10km de la côte pour donner appui-feu et d'être à portée de main si les hélicoptères doivent fossé. Le transporteur a navigué à moins de 60km de l'île, beaucoup plus proche que prévu initialement, pour donner les Sea King de vol plus court dans le vent fort. Comme l'heure approchait pour eux à bord de l'aéronef, les hommes SAS complété leurs vérifications de dernière minute:

«Aux environs de 2200 heures, nous nous dirigeâmes vers le hangar. Il était une ruche d'activité, comme une armée d'ingénieurs de maintenance effectués sur le serrées Harrier et Sea King pour s'assurer qu'il n'y avait assez d'avions pour des missions de jour et nuit-. Nous nous sommes installés dans un coin près de l'ascenseur et la rampe d'énormes mécanique, avec tout notre équipement. Un mécanicien Marine m'a demandé si je voulais un "humide", l'argot maritime pour une tasse de thé, et j'ai accepté son offre. Certains des garçons ont bu, d'autres fumées. C'est drôle, aucun d'entre nous discuté le travail que nous allions faire, ou le fait que certains d'entre nous pourrait ne pas revenir. Nous avons parlé de la maison, le football, la météo, nos rations, mais quoi que ce soit la mission.

«Nous avons fait notre chemin vers le poste de pilotage. Les Sea King ont été s'emballent, les lames tournantes, comme leurs équipages ont vécu leur contrôle final. Nous nous sommes assis accroupi près du premier avion, l'Atlantique Sud le vent se combiner avec le projet de la rotors nous cils. Mes yeux plissés à fentes comme j'ai essayé d'arrêter de penser au froid. Si seulement le vent **** de réduction! Hermes tangue et roule sur la mer démontée, ses 28.000 tonnes aux prises avec l'océan. Juste comme je pensais que j'allais être gelés sur le pont, le salut. Un "chochead" appelé avant le premier bâton. J'ai entendu quelqu'un crier "Merci Christ pour que« nous nous sommes précipités vers l'avant et inscrit le Sea King. «Maintenant, le manuel dit que le Sea King a un fuselage volumineux, et donc il ne si l'équipe est vêtu seulement T-shirts et shorts. Mais ici, nous étions, orné pour le raid avec Bergens, sangles et des armes, ce qui signifie qu'il a été **** toutes les chambres pour chacun de nous. Merci Christ nous n'avons pas de mitrailleuses polyvalentes ont résonné ou Milan. Je me suis calé dans un coin et a attendu pour ce qui semblait une éternité avant que nous a décollé. Puis j'ai commencé à transpirer, ****!

«Le bruit à l'intérieur du fuselage a été assourdissant que l'hélicoptère a volé bas au-dessus de l'océan tangage vers la terre, au ras des vagues pour éviter la détection par les radars ennemis. Nous ne savions pas s'ils en avaient le Pebble Island, mais il vaut mieux prévenir que guérir. Il ne fallut pas longtemps avant que nous a atterri sur l'île, et une fois que nous ne nous sommes passés comme **** pour atteindre l'objectif. Nous ne pouvions pas nous permettre de gaspiller tout moment, le vieux seau de rouille Hermes ne serait pas traîner, et de toute façon nos collègues déjà sur le terrain a mis en place des itinéraires sûrs pour nous. "

Le mouvement de l'objectif s'est révélé être sans incident. La garnison argentine sur l'île a maintenu un mauvais état de vigilance, ce qui est surprenant étant donné qu'ils doivent savoir que l'avion serait une cible. Néanmoins, les soldats SAS étaient dans un état d'alerte accru à mesure qu'ils avançaient:

«Je n'oublierai jamais le montant de moutons sur les cailloux. En Ulster, les moutons et les bovins sont un problème majeur se déplacer dans les premières heures. Si vous les dérangez, ils seront à l'état sauvage, ce qui permettra d'alerter la population locale à votre activité. Donc, ici, nous étions, se déplaçant vers la cible avec des milliers de moutons tout autour de nous. Heureusement, les gars de bateau troupe savait exactement où nous pourrions onglet rapide et où aller avec prudence. J'ai eu cette vision de l'Argies supplantation nous et un échange de tirs **** ING grande grande éruption avec tous ces moutons sont pris au milieu et déchiquetés. «Les obus de mortier nous menions ont été déposés à la plaque de base, et moins d'une heure d'être débarqué le seuil de groupe décollée à prendre position et fixer les deux voies en direction de la piste d'atterrissage. A cette époque, le froid commençait à arriver à tout le monde. C'est la seule chose sur le haut commandement; ils trouvent toujours des endroits les plus inhospitaliers pour nous d'une guerre en! Je me souviens avoir pensé comment c'était comme être sur le dessus de Pen-y-Fan en hiver, que dans Brecon il est possible de quitter la montagne et mettre à l'abri du vent. "

Il y avait six pucaras sur la piste d'atterrissage, ainsi que quatre avions légers Turbo-Mentor et un transport Skyvan. Il y avait un total de 12 pucaras argentins aux Malouines, et si le SAS pourrait détruire la moitié d'entre eux ce serait un gros bonus pour le Groupe de travail. Les deux parties ont prévu l'pucaras à prélever un lourd tribut de la Colombie après avoir atterri. Toutefois, les soldats de la SAS avait d'autres idées:

«Le terrain a été ouverte et nue, comme on nous avait dit. Nous avons abordé la piste d'atterrissage. Je pouvais voir une grande maison à ma gauche, qui avait une ligne d'arbres au vent battues d'un côté. J'ai aussi fait quelques dépendances et ce qui semblait être un brise-vent pour le jardin de la maison. La zone a été criblé de clôtures et de barrières qui faisaient clairement partie d'un régime à garder les moutons dans les enclos autour de la maison.

«J'ai attendu avec le seuil de groupe avant de rejoindre le groupe tueur. Mountain troupe avançait, mais ensuite nous avons repéré un guetteur ennemi et tout le monde se figea. Mon cœur s'est mis à battre et je serrais la poignée sur mon M16. Instinctivement, j'ai glissé le cran de sûreté. Nous avons pensé que nous avions été repérés, mais notre chance a été de, il ne nous voyait pas. Nous glissé sur le tarmac et les accusations portées sur sept de l'avion. Quelques instants plus tard la place a éclaté que nous avons ouvert avec nos armes de petit calibre et des lois. Utilisant des impulsions trois tours, j'ai vidé un chargeur dans une Pucara, les balles de déchirure dans le nez et le cockpit, l'envoi des éclats de plexiglas dans l'air. Transparent para-fusées de Glamorgan a illuminé le ciel nocturne. Lorsque le **** étaient les Argies?

«À ma gauche, une fusée 66mm a percuté le côté d'un autre Pucara, engloutissant dans une boule de feu. Le crépitement des armes légères emplissait l'air que les charges explosives ont commencé à exploser. J'ai découpé un magazine frais dans mon M16 et regarda autour d'objectifs frais. A cette époque, tous les avions étaient brûlants ou avait été criblé de balles, leurs trains d'atterrissage et a tiré loin de leurs fuselages plein de trous. Dans le fond, j'ai entendu le Crump d'obus d'artillerie explosent comme Glamorgan tiré des projectiles explosifs dans un dépôt de munitions de l'ennemi et les magasins de carburant. L'opposition était nulle part pour être vu. C'est trop beau pour être vrai, je ne pensais. «Les observateurs avant a fait un travail champion. Maintenant, ils dirigeaient les coups de feu pour couvrir notre retraite. Nous avons fait une vérification rapide de l'avion, en essayant de les identifier tous et faire en sorte qu'ils ont été désactivés. Lorsque vous êtes sur un raid, vous ne **** autour. Le temps est précieux. Si vous avez atteint l'élément de surprise choses passez votre chemin pendant un certain temps. Mais en fait, vous êtes très vulnérables, et pour tout ce que vous savez qu'il pourrait y avoir un bataillon ennemi derrière la colline la plus proche d'attente de tomber sur vous comme une tonne de ****.

»Puis, la partie de pillage et de la coupure équipe de re-groupés et prêts à sortir. Juste avant que nous avons fait, nous avons reçu ennemi tirs d'armes légères. Un de nos garçons a diminué. Instinctivement, nous sommes rentrés un déluge de feu, chaque tir contrôlé homme éclate de son arme. Ceux qui avaient tiré des grenades M203s au Argies. Il fait le tour, car nous n'avons pas reçu le feu plus hostile. Nous avons continué de se replier, plus rapidement maintenant que l'ennemi ont été re-groupement pour un autre aller. Le blessé a été saisi et transporté le long (nous ne laissons jamais nos blessés derrière, c'est une loi non écrite dans le régiment). «Nous Bugged Out à la vitesse, pour atteindre le site d'atterrissage d'attendre notre retour de levage à Hermès. Bang à temps les hélicoptères est arrivé, et une bonne Escadron D a été sorti. Pour ma part, avait prévu un échange de tirs lourds quand nous sommes arrivés à l'aérodrome, mais il ne s'est jamais concrétisé. Nous aurions pu frapper la garnison si nous avions eu plus de temps, mais comme il a été nous avons tous senti heureux avec nous-mêmes. "

Le raid a été un succès total. Pour la perte d'un seul blessé, le SAS a détruit six pucaras, quatre Turbo-mentors et un Skyvan. En outre, une grande quantité de munitions argentins avaient été détruites et le commandant de la garnison avaient été tués. Bien plus important, cependant, était le fait qu'il n'y avait aucun avion en Argentine sur Pebble Island à interférer avec les débarquements à San Carlos de l'eau, et le moral de l'ennemi avait été mise à mal.

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