La légion saute sur Tombouctou ( janvier 2013 )
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La légion saute sur Tombouctou ( janvier 2013 )
La 2e compagnie du 2e REP, a trouvé un objectif à sa mesure : un saut sur Tombouctou, deuxième grande ville du Nord-Mali à reconquérir.(info perso : avec des chiens aussi )
Cinq avions de transport d'assaut -trois Transall et deux Hercules- ont été mobilisés dans cette OAP, la plus massive depuis celle de Kolwezi, menée par le même 2e REP en 1978.
Une seule compagnie, un EMT et des appuis (notamment antichars) ont été largués, bien que dans cinq ATA, on glisse bien plus que ce seul volume.
Précédé par une équipe GCP du 2e REP, le gros des troupes a ensuite sauté en pleine nuit, il était minuit trente, heure de Paris. Un des drones Harfang de Niamey a filmé la scène , après avoir sans doute assuré un gros travail de détection d'éventuels gêneurs que des chasseurs en vol auraient pu se charger de neutraliser.
Un millier de combattants français ont été engagés au sol, avec peut-être 200 Maliens. Le GTIA du 21e RIMa progressant avec ses Sagaie a pris l'aéroport, puis a commencé à s'approcher des faubourgs de Tombouctou. Des Rafale, Mirage 2000D, ATL-2, drones et hélicoptères étaient engagés dans le ciel.
Ce régiment a, comme le 2e REP, sauté sur Dien Bien Phu en 1953 et 1954 mais l'EMA confirme que seul le 2e REP a sauté le matin, avec son chef de corps en tête, comme c'est la tradition.
C'est le colonel Benoît Desmeulles, chef de corps du 2e REP, qui commande ce GTIA parachutiste.
Selon des informations convergentes, des informations partielles avaient été données aux militaires et à leurs familles, en même temps que des consignes de discrétion les plus formelles, avant le départ de France.
Avec la prise de Gao et Tombouctou s'achève la première phase de Serval, mais commence la plus difficile, celle de la guerre du désert. Les choses sérieuses commencent.
https://i.servimg.com/u/f77/14/16/37/49/legion10.jpghttps://i.servimg.com/u/f77/14/16/37/49/legion11.jpghttps://i.servimg.com/u/f77/14/16/37/49/20130510.png
Cinq avions de transport d'assaut -trois Transall et deux Hercules- ont été mobilisés dans cette OAP, la plus massive depuis celle de Kolwezi, menée par le même 2e REP en 1978.
Une seule compagnie, un EMT et des appuis (notamment antichars) ont été largués, bien que dans cinq ATA, on glisse bien plus que ce seul volume.
Précédé par une équipe GCP du 2e REP, le gros des troupes a ensuite sauté en pleine nuit, il était minuit trente, heure de Paris. Un des drones Harfang de Niamey a filmé la scène , après avoir sans doute assuré un gros travail de détection d'éventuels gêneurs que des chasseurs en vol auraient pu se charger de neutraliser.
Un millier de combattants français ont été engagés au sol, avec peut-être 200 Maliens. Le GTIA du 21e RIMa progressant avec ses Sagaie a pris l'aéroport, puis a commencé à s'approcher des faubourgs de Tombouctou. Des Rafale, Mirage 2000D, ATL-2, drones et hélicoptères étaient engagés dans le ciel.
Ce régiment a, comme le 2e REP, sauté sur Dien Bien Phu en 1953 et 1954 mais l'EMA confirme que seul le 2e REP a sauté le matin, avec son chef de corps en tête, comme c'est la tradition.
C'est le colonel Benoît Desmeulles, chef de corps du 2e REP, qui commande ce GTIA parachutiste.
Selon des informations convergentes, des informations partielles avaient été données aux militaires et à leurs familles, en même temps que des consignes de discrétion les plus formelles, avant le départ de France.
Avec la prise de Gao et Tombouctou s'achève la première phase de Serval, mais commence la plus difficile, celle de la guerre du désert. Les choses sérieuses commencent.
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