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l'arme secrete du japon (1944/1945) et une arme FRANCAISE du meme style .(le surcouf ) +textes et videos.

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l'arme secrete du japon (1944/1945)  et une arme FRANCAISE du meme style .(le surcouf ) +textes et videos. Empty l'arme secrete du japon (1944/1945) et une arme FRANCAISE du meme style .(le surcouf ) +textes et videos.

Message  marcwolf Mer 30 Nov - 10:54


En plein conflit, alors que les scientifiques américains s’efforcent de percer les secrets de l’atome et que leurs homologues allemands planchent sur des études balistiques qui devront s’abattre sur des villes situées à des centaines de kilomètres ; le Japon élabore lui aussi son arme secrète. Son but, ravager des villes entières et pousser l’ennemi à la reddition.
Un tel secret entourait cette arme japonaise, au point que les américains ont ignoré son existence jusqu’à la fin de la guerre.
Il pouvait contourner les deux caps, faire six mille kilomètres, il offrait un bon nombre d’options stratégiques. Ce système d’arme pouvait vraiment attaquer n’importe où dans le monde. L’Histoire de cette arme ultra secrète commence au lendemain de l’attaque contre Pearl Harbour. Les japonais frappent en décembre 1941, et pas parce que l’occasion se présente, mais parce qu’ils disposent alors de la marine la plus puissante du pacifique et ils en profitent. Le stratège de l’offensive de Pearl Harbour, est un amiral sortit de Harvard. Il compte ébranler l’Amérique avec suffisamment de violence pour que la population civile découragée, demande à l’empire du soleil levant de signer la paix. L’offensive permet de couler plusieurs navires de tailles très importantes et encore plusieurs de taille plus modestes. Mais le hasard a bien fait les choses pour les américains, le jour fatidique, leurs trois portes avions basé à Pearl Harbour étaient en mer. Et les japonais ont commis une autre erreur de jugement, ils ont nettement sous-estimé la volonté de riposter des Etats Unis, qui dès le lendemain déclarent la guerre au Japon. Loin de se décourager, les américains commencent à reconstituer leurs flottes et mobilisent toutes leurs ressources pour vaincre les japonais. Pour contraindre l’ennemi à s’assoir à la table des négociations, l’amiral japonais doit contraindre les Etats Unis à rester sur l’offensive, rendre la guerre plus coûteuse et affaiblir la population civile. Et il doit y parvenir très rapidement.

Dans les mois qui suivent Pearl Harbour, il cherche un moyen de gagner le combat au cœur du territoire américain, à plusieurs milliers de kilomètres de distance. Il s’intéresse alors au succès des sous-marins allemand, qui font des ravages dans les rangs des navires qui traversent l’atlantique. En juin et juillet 1942, ils coulent 397 bateaux qui transportaient des milliers de tonnes de cargaisons vers la Grande Bretagne. Certains d’entre eux sont même torpillés en vue des côtes américaines. Et si les sous-marins de Hitler peuvent semer la terreur aussi sur la côte est, pourquoi les japonais ne pourraient-ils pas en faire autant sur la côte ouest ?

Pour évaluer le bien-fondé de sa théorie, l’amiral organise plusieurs missions. D’abord, il envoie un de ses sous-marins au large de la Californie, pour pilonner une raffinerie de pétrole. Si les dégâts ne sont que minimes, ils incitent tout de même les américains à redouter une invasion japonaise sur tout le littoral occidentale.

Alors les américains vont redoubler de surveillance et découvrir peut à petit le plan de l’amiral japonais et sa fameuse arme secrète. Pour connaitre tous les secrets de cette arme mystérieuse et redoutable, regardez la video

------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------le Surcouf
Lancement 18 novembre 1929
Armé 16 avril 1934
Caractéristiques techniques
Type Croiseur sous-marin
Longueur 110 m
Maître-bau 9 m
Tirant d'eau 7,07 m
Déplacement 3 304 t en surface
4 218 t en plongée
Propulsion En surface : 2 moteurs diesel de 7 600 ch
En plongée : 2 moteurs électriques de 3 400 ch
2 hélices
Vitesse 19 nœuds en surface
9 nœuds en plongée
Profondeur 80 mètres (maximum de sécurité)
Caractéristiques militaires
Armement 2 canons de 203 mm
2 canons AA de 37mm
12 tubes lance-torpilles (8 de 550 mm et 4 de 400 mm).
Aéronefs 1 hydravion Besson MB 411
Rayon d'action 10 000 nautiques à 10 nœuds en surface
60 nautiques à 5 nœuds en plongée
Autres caractéristiques
Équipage 126 hommes
Chantier naval Arsenal de Cherbour

Le Surcouf est un croiseur sous-marin français ayant servi pendant la Seconde Guerre mondiale. Il est coulé par accident ou par méprise dans la nuit du 18 au 19 février 1942 dans la mer des Antilles. C'était, en tonnage, le plus grand sous-marin militaire du monde de son époque.
Le traité de Washington de 1922 a instauré des limites strictes pour les déplacements et les calibres d'artillerie des bâtiments de ligne et des croiseurs. Mais aucun accord n'a été trouvé pour les bâtiments légers (torpilleurs, contre-torpilleurs, frégates ou destroyers) ni pour les sous-marins. Aussi, pour assurer sa sécurité et celle de son empire, la France a entrepris la construction d'une importante flotte sous-marine (79 unités en 1939). Le Surcouf devait être le premier d'une série de trois croiseurs sous-marins mais il n'en a été que l'unique exemplaire.
Ses missions sont :
-Assurer le contact avec les colonies.
-Chercher et détruire les flottes ennemies en collaboration avec les escadres.
-Mener une guerre de course contre les convois ennemis.
Le Surcouf était armé d'une tourelle double de 203 mm, calibre identique à celui de l'artillerie d'un croiseur lourd (c'est pourquoi il a été appelé « croiseur sous-marin »), approvisionnée à 600 coups. Pour le réglage de ses tirs et l'observation, le Surcouf embarquait un hydravion rangé dans un hangar étanche formant la partie arrière du kiosque. Son armement antiaérien était constitué par 2 canons de 37 mm. Il était équipé de 12 tubes lance-torpilles (8 de 550 mm et 4 de 400 mm) avec 12 torpilles de réserve.
Il transportait également un canot à moteur de 5 mètres pour arraisonner les navires et disposait d'un poste d'équipage pouvant loger 40 passagers ou prisonniers.
Sa profondeur maximale de sécurité était de 80 mètres, mais il pouvait atteindre 110 mètres sans déformation notable de sa coque épaisse, sa profondeur de flambement étant de 180 mètres. Sa profondeur d'écrasement était estimée à près de 500 mètres.
Bâtiment exceptionnel pour son époque, le Surcouf a rencontré de nombreux problèmes de mise au point, notamment d'étanchéité de sa tourelle d'artillerie, et de stabilité. Il a été contraint à une refonte à Brest en 1936/1937.
Pour remplacer son hydravion dont la mise en œuvre était très contraignante et l'emploi limité, des essais du gyroplane ont été réalisés à bord du Surcouf en 1938.
Lorsque les troupes allemandes ont envahi la France en mai 1940, le Surcouf se trouvait en grand carénage à Brest après une mission dans les Antilles et le golfe de Guinée. Pour éviter la capture, le sous-marin appareille sous les ordres du capitaine de frégate Martin. Ses travaux inachevés, sans pièce de rechange et incapable de plonger, il gagne Plymouth en surface. Le 3 juillet 1940, les bâtiments français réfugiés en Grande-Bretagne sont saisis par les Britanniques, lors de l'opération Catapult. La prise du Surcouf fut menée au prix de quatre morts, un Français, l'ingénieur mécanicien Yves Daniel, et trois Britanniques, le commandant du sous-marin Thames, l'officier de renseignement porteur de l'ordre de saisie et un sergent.

Le Surcouf était alors le plus grand sous-marin du monde. Ses canons de 203 mm pouvaient tirer chacun trois obus de 120 kg à la minute, à une distance de 27 km.
En dépit du peu d'enthousiasme des Britanniques, malgré sa complexité, le manque de pièces de rechange et de marins qualifiés "sous-mariniers", le Surcouf est tout de même réarmé au prix de nombreuses difficultés. D'abord commandé par le capitaine de frégate Ortoli qui fut son premier officier canonnier lors de ses essais en 1932, il servit dans les Forces navales françaises libres, après avoir été modernisé à l'arsenal de Portsmouth (USA). Mais hélas il ne fut pas équipé de radar. Le 24 décembre 1941, Une flottille FNFL composée du Surcouf et des corvettes Mimosa, Alysse, Aconit, commandée par le vice-amiral Muselier rallia Saint-Pierre-et-Miquelon à la France libre.
Le Surcouf disparut corps et biens dans la nuit du 18 au 19 février 1942 au nord du canal de Panama, par 11° nord et 79° ouest, peu après son appareillage des Bermudes, le 12 février. Le rapport officiel américain conclut que la disparition du Surcouf est due à un abordage accidentel avec le cargo américain Thomson Lykes. Comme tous les sous-marins de cette époque (le schnorkel n'ayant été opérationnel qu'en 1943), le Surcouf naviguait la nuit en surface pour recharger ses batteries d'accumulateurs, ses feux de navigation évidemment éteints pour ne pas être repéré.
Bien plus tard le rapport d'enquête de la commission française, conclura de son côté que sa disparition fut la conséquence d'une méprise. Un hydravion PBY Catalina de patrouille anti-sous-marine chargée de la défense de ces mêmes eaux dans la nuit du 18 au 19 février 1942, aurait bombardé le Surcouf, le confondant avec un grand sous-marin allemand ou japonais.
Cet abordage accidentel ou cette méprise fit 130 morts (dont 4 marins britanniques), sous les ordres du capitaine de frégate Louis Blaison. Un monument commémore son souvenir sur la jetée de Cherbourg.



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