Opération Barkhane: le commandant d'une importante katiba du GSIM tué par l'armée française -octobre 2021-
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Opération Barkhane: le commandant d'une importante katiba du GSIM tué par l'armée française -octobre 2021-
Affilié à Al-Qaïda, Nasser Al Tergui était spécialisé dans la pose d'engins explosifs improvisés et de mines.L'annonce a été faite ce jeudi. Dans un communiqué publié au milieu de la matinée, le ministère des Armées a informé de la neutralisation par l'armée française de Nasser Al Tergui, commandant d'une importante katiba (un camp de combattants, ndlr) du GSIM (Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans) au Mali et proche d'Al-Qaïda.
Repéré par un drone
Selon ce document de l'État-major, les faits ont eu lieu le 15 octobre, lorsqu'"un véhicule transportant à son bord cinq individus a été repéré par un drone à une centaine de kilomètres au nord-ouest de Gossi."
Parmi les passagers, Nasser Al Tergui qui "était notamment spécialisé dans la pose d'engins explosifs improvisés et de mines". Il avait rejoint les rangs d'Al Qaïda au Maghreb islamique en 2012, lors de la prise de Tombouctou par les groupes jihadistes.
Plus tard dans la journée, le véhicule s'arrête à hauteur d'un village nomade afin "d'y passer la nuit." Au matin du 16 octobre, les militaires de la Force Barkhane décident d'intercepter le véhicule dont le conducteur refuse de s'arrêter. En représailles, "deux frappes aériennes sont déclenchées pour le stopper." Un groupe commando a été héliporté sur la zone de la frappe pour la reconnaître afin d'examiner le véhicule détruit et récupérer des matériels d'intérêt, en cours d'exploitation.
Repéré par un drone
Selon ce document de l'État-major, les faits ont eu lieu le 15 octobre, lorsqu'"un véhicule transportant à son bord cinq individus a été repéré par un drone à une centaine de kilomètres au nord-ouest de Gossi."
Parmi les passagers, Nasser Al Tergui qui "était notamment spécialisé dans la pose d'engins explosifs improvisés et de mines". Il avait rejoint les rangs d'Al Qaïda au Maghreb islamique en 2012, lors de la prise de Tombouctou par les groupes jihadistes.
Plus tard dans la journée, le véhicule s'arrête à hauteur d'un village nomade afin "d'y passer la nuit." Au matin du 16 octobre, les militaires de la Force Barkhane décident d'intercepter le véhicule dont le conducteur refuse de s'arrêter. En représailles, "deux frappes aériennes sont déclenchées pour le stopper." Un groupe commando a été héliporté sur la zone de la frappe pour la reconnaître afin d'examiner le véhicule détruit et récupérer des matériels d'intérêt, en cours d'exploitation.
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