le service action
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le service action
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Le service Action (SA) est un service de la direction des Opérations (DO) au sein de la Direction générale de la Sécurité extérieure (DGSE). Il est chargé de la planification et de la mise en œuvre des opérations clandestines.
Son quartier général est situé au fort de Noisy à Romainville, France.
Le service Action est chargé de la planification et de la mise en œuvre des opérations clandestines. Celles-ci peuvent être de deux catégories :
opérations « arma » : sabotage, destruction de matériel ;
opérations « homo » : assassinat ou enlèvement de personnes.
Le service Action est également utilisé pour infiltrer ou exfiltrer clandestinement des personnels (agents, personnalités, ex-otages, etc.) d'un pays. Il peut également participer à l'acquisition de renseignements via la capture d'un matériel sensible.
Le SA remplit également des missions d'évaluation de la sécurité de divers bâtiments comme les centrales nucléaires d'EDF (comme l'a dévoilé Le Canard enchaîné dans son article « Quand la DGSE posait de fausses bombes à Bugey » du 25 avril 1990), ainsi que des bâtiments militaires comme des installations de réparation des sous-marins nucléaires de l'Île longue en rade de Brest ( avec des nageurs de combat.marc)
Le 16 avril 1956 est créé le Centre d'instruction des nageurs de combat (CINC), intégré à la 11e DBPC. Le 26 octobre 1960, le CINC est transféré à la Base d'aéronautique navale d'Aspretto (Corse). Le CINC est l'unité des nageurs de combat de la DGSE (malgré son nom, leur formation est assurée par cours de nageurs de combat - CNC - de la Marine à Saint-Mandrier).
La 11e DBPC 'lle11 choc.marc) est dissoute le 31 décembre 1963 après la fin de la guerre d'Algérie, et ses missions sont en partie reprises par les soldats du 13e régiment de dragons parachutistes (13e RDP) et du GO (groupement opérationnel) du 1er régiment de parachutistes d'infanterie de marine (1er RPIMa), généralement pour des opérations contre des guérillas d'idéologie plus ou moins marxistes en Afrique.
Le service Action dispose du CIRP (Centre d'instruction des réserves parachutistes) regroupant 3 centres d'entraînement :
le Centre parachutiste d'entraînement spécialisé (CPES), stationné à Cercottes, qui instruit les agents clandestins ;
le Centre parachutiste d'instruction spécialisée (CPIS), stationné à Perpignan, successeur du Centre d'entraînement à la guerre spéciale (CEGS), qui forme les commandos spéciaux ;
le Centre parachutiste d'entraînement aux opérations maritimes (CPEOM) à Quélern, successeur du Centre d'instruction des nageurs de combat (CINC) d'Aspretto, qui regroupe les nageurs de combat.
Le service dispose en outre, pour le soutien aérien de ses opérations clandestines, d'une unité de l'Armée de l'air appelée Groupe aérien mixte 56 « Vaucluse » (GAM 56). Basé à Évreux, le GAM 56 est doté d'hélicoptères Caracal et d'avions de transport tactique de type Transall et Twin Otter.
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Le service Action (SA) est un service de la direction des Opérations (DO) au sein de la Direction générale de la Sécurité extérieure (DGSE). Il est chargé de la planification et de la mise en œuvre des opérations clandestines.
Son quartier général est situé au fort de Noisy à Romainville, France.
Le service Action est chargé de la planification et de la mise en œuvre des opérations clandestines. Celles-ci peuvent être de deux catégories :
opérations « arma » : sabotage, destruction de matériel ;
opérations « homo » : assassinat ou enlèvement de personnes.
Le service Action est également utilisé pour infiltrer ou exfiltrer clandestinement des personnels (agents, personnalités, ex-otages, etc.) d'un pays. Il peut également participer à l'acquisition de renseignements via la capture d'un matériel sensible.
Le SA remplit également des missions d'évaluation de la sécurité de divers bâtiments comme les centrales nucléaires d'EDF (comme l'a dévoilé Le Canard enchaîné dans son article « Quand la DGSE posait de fausses bombes à Bugey » du 25 avril 1990), ainsi que des bâtiments militaires comme des installations de réparation des sous-marins nucléaires de l'Île longue en rade de Brest ( avec des nageurs de combat.marc)
Le 16 avril 1956 est créé le Centre d'instruction des nageurs de combat (CINC), intégré à la 11e DBPC. Le 26 octobre 1960, le CINC est transféré à la Base d'aéronautique navale d'Aspretto (Corse). Le CINC est l'unité des nageurs de combat de la DGSE (malgré son nom, leur formation est assurée par cours de nageurs de combat - CNC - de la Marine à Saint-Mandrier).
La 11e DBPC 'lle11 choc.marc) est dissoute le 31 décembre 1963 après la fin de la guerre d'Algérie, et ses missions sont en partie reprises par les soldats du 13e régiment de dragons parachutistes (13e RDP) et du GO (groupement opérationnel) du 1er régiment de parachutistes d'infanterie de marine (1er RPIMa), généralement pour des opérations contre des guérillas d'idéologie plus ou moins marxistes en Afrique.
Le service Action dispose du CIRP (Centre d'instruction des réserves parachutistes) regroupant 3 centres d'entraînement :
le Centre parachutiste d'entraînement spécialisé (CPES), stationné à Cercottes, qui instruit les agents clandestins ;
le Centre parachutiste d'instruction spécialisée (CPIS), stationné à Perpignan, successeur du Centre d'entraînement à la guerre spéciale (CEGS), qui forme les commandos spéciaux ;
le Centre parachutiste d'entraînement aux opérations maritimes (CPEOM) à Quélern, successeur du Centre d'instruction des nageurs de combat (CINC) d'Aspretto, qui regroupe les nageurs de combat.
Le service dispose en outre, pour le soutien aérien de ses opérations clandestines, d'une unité de l'Armée de l'air appelée Groupe aérien mixte 56 « Vaucluse » (GAM 56). Basé à Évreux, le GAM 56 est doté d'hélicoptères Caracal et d'avions de transport tactique de type Transall et Twin Otter.
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